Aides aux patients

Aides aux patients

Éducation thérapeutique du patient

Un programme d’éducation thérapeutique validé par l’ARS Hauts-De-France peut être proposé sous certaines conditions aux patients suivis ou adressés dans le service pour une maladie d’Alzheimer au stade prodromal.

Le programme se compose de huit ateliers collectifs décrits ci-dessous et de deux entretiens individuels (en début puis en fin de programme). L’ensemble du programme se déroule sur environ trois mois.

Pour plus de détails, vous pouvez vous adresser un email à l’adresse suivante : ETPAlzheimer@chru-lille.fr

Livraison de repas

Il faut contacter la mairie de son domicile pour que le service payant de livraison de repas soit mis en place.

L’attribution de certaines aides est basée sur un critère d’âge : plus ou moins de 60 ans.

Moins de 60 ans
Quelle aide ? Où la demander ?
ALD CPAM
Congé maladie longue durée CPAM
Reconnaissance d’incapacité professionnelle CPAM
Carte d’invalidité civile MDPH
AAH MDPH
Complément ressources MDPH
PCH MDPH
Allocation logement CAF
Plus de 60 ans
Quelle aide ? Où la demander ?
Carte d’invalidité civile MDPH
APA Conseil départemental
Aides sociales Conseil départemental
Allocation logement CAF
L'ALD

La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées figurent dans la liste des 30 pathologies reconnues comme affection de longue durée (ALD 15). Cette reconnaissance permet une prise en charge à 100% des soins, traitements ou examens en lien avec la pathologie. Cette prise en charge s’applique aux actes et prestations remboursables dans la limite des tarifs de la sécurité sociale suivants :

  • La prise en charge orthophonique,
  • La prise en charge infirmière, libérale ou par un service de soins infirmiers à domicile (SSIAD),
  • La prise en charge en hôpital de jour ;
  • Les consultations médicales et les traitements médicamenteux en lien avec l’affection et
  • La prise en charge des transports à l’hôpital.

Comment l’obtenir ?

C’est le médecin traitant qui en fait la demande au médecin conseil de la caisse de sécurité sociale en accord avec le patient. Une fois l’ALD 15 reconnue, la caisse d’assurance maladie retournera le volet du protocole de soins qui sera à signer par le patient. Ce volet est à conserver car il devra ensuite être présenté aux professionnels de santé qui seront consultés. Une fois l’ALD notifiée il ne faut pas oublier de mettre la carte vitale à jour.

Congé maladie longue durée

Dès que la maladie est diagnostiquée la personne malade peut bénéficier de la possibilité d’un arrêt maladie, puis par la suite d’un congé pour maladie de longue durée. Ainsi pendant trois ans, elle bénéficiera des indemnités journalières de la sécurité sociale (soit environ 50% du salaire journalier de base) dans la limite de 42,32 € par jour, auxquelles viennent s’ajouter parfois, suivant les employeurs, un complément d’indemnités journalières versé par une caisse de retraite ou un régime de prévoyance.

Reconnaissance d’incapacité professionnelle

Cette pension a pour objet de compenser une perte de salaire résultant de l’incapacité de travail due à la maladie de l’assuré quand l’assuré présente une invalidité réduisant d’au moins les 2/3 de sa capacité de travail ou de gain. Le médecin conseil de la sécurité sociale évalue le taux d’incapacité lors des visites de contrôle prévues tous les 6 mois. Cette pension sera calculée sur les 10 meilleures années de travail dont le montant variera en fonction de la catégorie d’invalidité.

Il existe 3 catégories :

  • 1ère catégorie: être capable d’exercer une activité professionnelle. Elle pourra se cumuler avec un revenu d’activité à temps partiel;
  • 2ème catégorie: être dans l’incapacité d’exercer une activité professionnelle;
  • 3ème catégorie: être dans l’incapacité d’exercer une activité professionnelle et dans l’obligation d’avoir recours à l’assistance d’une tierce personne pour effectuer les actes ordinaires de la vie.

La majoration Tierce personne n’est pas soumise à conditions de ressources et est non imposable sur le revenu. A la date de départ à la retraite, la pension d’invalidité se transforme en pension de retraite pour inaptitude et la majoration pour tierce personne reste définitivement acquise.

Carte d'invalidité civile

Cette carte d’invalidité civile reconnaît à son détenteur un handicap lié à la maladie et, de ce fait lui donne droit à certains avantages. Elle peut être demandée pour toute personne dont le taux d’incapacité est fixé à au moins 80% ou percevant une pension d’invalidité de 3ème catégorie. Il n’y a pas de limite d’âge et de conditions de ressources. Elle peut être demandée dès l’annonce du diagnostic.

Comment obtenir cette carte ?

La demande sur dossier est à effectuer auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH), qui attribue cette carte après avoir apprécié le taux d’incapacité de la personne.

AAH

L’Allocation Adultes Handicapés (AAH) est adressée aux personnes de moins de 60 ans n’ayant pas travaillé ou n’atteignant pas le minimum social : elle a pour objet de garantir un revenu minimum aux personnes handicapées. Le droit à l’allocation n’est ouvert que lorsque la personne handicapée ne peut prétendre à un avantage de vieillesse, d’invalidité ou d’une rente d’accident du travail d’un montant au moins égal à celui de l’AAH.

Le complément de ressources

Le complément de ressources est une allocation forfaitaire qui s’ajoute à l’allocation aux adultes handicapés (AAH) pour constituer une garantie de ressources dans le but de compenser l’absence durable de revenus d’activité des personnes handicapées dans l’incapacité de travailler. Il ne se cumule pas avec la majoration pour la vie autonome. Ce complément permet aux personnes handicapées vivant dans un logement indépendant de payer les travaux nécessaires à l’adaptation du logement.

PCH

La Prestation de compensation du handicap (PCH) est basée sur les besoins de la personne évalués par une équipe médico-sociale, elle a pour ambition de répondre aux besoins individualisés de la personne malade. Il s’agit d’une prestation qui peut être versée selon le choix du bénéficiaire, en nature (sous forme d’un service, par exemple) ou en espèces.

Pour avoir droit à la prestation de compensation, la personne doit justifier que son handicap répond à certains critères fixés par un référentiel. Il prend en compte notamment la nature et l’importance des besoins de compensation au regard de son projet de vie. Les aides proposées :

  • Aide humaine : pour rémunérer des personnes ou dédommager un aidant familial qui apporte une aide pour les actes essentiels de la vie quotidienne ;
  • Aide technique : pour acheter les aides techniques nécessaires (fauteuil roulant, lève-personne, etc.) ;
  • Aménagement du logement, du véhicule et surcoûts liés au transport : adaptation d’une salle de bain, du véhicule, etc.
  • Dépenses spécifiques ou exceptionnelles : pour payer des dépenses spécifiques (télé assistance, protections pour incontinence, etc.) ;
  • Aide animalière : chien guide d’aveugle ou d’assistance au handicap.
Allocation logement

Le forfait journalier d’hébergement est à la charge de la personne hébergée en EHPAD. En cas d’insuffisance de revenus, sans condition d’âge, mais selon des conditions de ressources, le patient peut bénéficier de l’Allocation Logement versée par la Caisse d’Allocation Familiale.

Congé soutien familial

L’aidant familial en activité professionnelle a maintenant droit à un « congé de soutien familial » qui permet à tout salarié d’interrompre provisoirement son activité professionnelle pour s’occuper d’un parent dépendant.

Le « congé de soutien familial », est d’une durée de trois mois (renouvelable dans la limite d’un an sur toute la carrière du salarié).

Ce congé, ni indemnisé, ni rémunéré, ne peut être refusé par l’employeur. Le salarié doit respecter auprès de son employeur un préavis de deux mois (ramené à 15 jours en cas d’urgence) et justifier d’une ancienneté minimale de deux ans. Il aura la garantie de retrouver son emploi ou un emploi équivalant dans son entreprise à l’issue de cette période.

Pour bénéficier du congé de soutien familial, le salarié adresse à son employeur, au moins 2 mois avant le début du congé, une lettre recommandée avec demande d’avis de réception ou lui remet en main propre une lettre contre décharge l’informant de sa volonté de suspendre son contrat de travail à ce titre et de la date de son départ en congé.

L'APA

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Aides sociales

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Le rapport du patrimoine

Faire le point sur l’aspect juridique de l’organisation familiale est une démarche qui doit être entreprise le plus rapidement possible. La situation d’un mariage unique est la plus simple. Le PACS est également une reconnaissance du lien.

D’autres situations sont plus complexes :

En cas de vie maritale, sans lien juridique, il est indispensable de faire reconnaître officiellement la famille et ses biens. En cas de séparation d’un premier couple, il faut savoir s’il y a bien eu un divorce prononcé et avec quelle répartition du patrimoine. Le second couple a-t-il une reconnaissance juridique, ainsi que ses enfants ?

Si ce n’est pas le cas, le conjoint peut se retrouver dans une situation inextricable par la suite. Au moment d’une éventuelle mise sous tutelle, c’est la famille « officielle » qui sera l’interlocuteur du juge des tutelles. Cela sera donc soit les parents, les frères et sœurs ou les enfants majeurs de la personne malade. Du fait du caractère évolutif de la maladie, il est nécessaire d’aborder ces différentes questions et recueillir les volontés de la personne malade dès le début de sa maladie et ceci tant d’un point de vue patrimonial que testamentaire. Il est aussi moins difficile de mettre en œuvre certaines actions en début de maladie. Il est possible à ce moment-là de bénéficier d’une consultation gratuite auprès d’un notaire.

Cependant ce n’est pas toujours possible quand la personne ne reconnaît pas ses difficultés et s’oppose aux démarches qu’on lui propose.

La sauvegarde de justice

C’est une mesure provisoire en attente de l’ouverture d’une mesure de tutelle ou de curatelle qui ne peut durer plus d’un an. C’est une mesure souple et immédiate mais qui reste temporaire et devient caduque si elle n’est pas renouvelée. En cas d’urgence, un médecin peut demander une mesure de sauvegarde sur un imprimé spécial auprès du Procureur de la République. Elle permet en particulier de protéger immédiatement la personne et de contester des achats inconsidérés ou des actes notariés, ventes, donations, éventuellement inappropriés.

Il s’agit d’une mesure qui permet pour la personne malade de :

  • conserver l’exercice de ses droits civiques;
  • gérer ses dépenses quotidiennes et administrer ses biens comme elle le souhaite.

Elle peut désigner une personne qui la représente appelée « mandataire » (ce mandat ne peut être révoqué qu’avec l’autorisation du juge des tutelles). Par ailleurs, elle ne peut exercer une action en divorce ou y être défendeur. Aucune demande de divorce pour consentement mutuel ne peut être présentée.

II existe deux possibilités de mise en sauvegarde : judiciaire et médicale.

Judiciaire

Elle est décidée par le juge des tutelles, en particulier s’il est saisi d’une demande de mise sous tutelle ou curatelle nécessitant une mise immédiate sous sauvegarde de justice.

Médicale

Elle est demandée par le médecin traitant de la personne auprès du procureur de la République. Cette déclaration doit être confirmée par un médecin spécialiste sur une liste de médecins agréés par le tribunal.

La curatelle

Aussi, les conséquences pour la personne en ce qui concerne sa capacité d’agir seront en rapport avec les pouvoirs accordés. La personne malade peut, sans l’assistance de son curateur engager des actions en justice sans l’accord de son curateur. Elle peut aussi, se marier assistée par son curateur. Le consentement du curateur est alors requis ou à défaut, celui du juge des tutelles. La personne protégée doit aussi être assistée par son curateur en cas de contrat de mariage.

Aucune demande de divorce par consentement mutuel ne peut être présentée.

Le mandat de protection future

C’est une disposition essentielle de la loi sur les tutelles. Il s’agit d’un contrat qui permet à une personne en tout début des troubles d’organiser à l’avance sa protection en choisissant celui ou celle ou ceux qui seront chargés de s’occuper de ses affaires ou de sa personne le jour où elle ne pourra plus le faire elle même, en raison de son état de santé. Cela permet à chacun d’organiser sa protection. Le mandat est un contrat libre et le mandant choisit à l’avance l’étendue des pouvoirs du ou des mandataires. Les actes de protection des biens qu’un mandataire peut réaliser sans autorisation du juge diffèrent selon le type de mandat notarié ou sous seing privé.

Le mandat notarié

Le mandat est dit alors authentique, il peut ouvrir des droits de gestion très vastes. Le mandataire doit rendre des comptes de gestions annuels ainsi que l’inventaire des biens au notaire ayant établi le mandat avec le mandant. Le mandataire est habilité à passer des actes de disposition de biens (comme la vente d’une maison par exemple) sans l’avis du juge. C’est au notaire de référer au juge si un mandataire passait un acte contre l’intérêt du mandant. Le mandat sous seing privé se limite à des actes d’administration des biens (régler des factures, renouveler un bail). Pour les actes de disposition, il devra en référer à un juge.

Tant que le mandat n’a pas pris effet, le mandant comme le mandataire peut y renoncer ou le révoquer. Le mandat prend effet à partir du moment où un certificat médical établi par un médecin inscrit sur une liste d’experts par le procureur de la république atteste du fait que le mandant ne peut plus pourvoir à ses intérêts seul. Le mandataire se présente au greffe du tribunal avec le mandat et le certificat. Il sera visé par celui-ci et pourra être mis en œuvre.

La tutelle

Le tuteur est le représentant de la personne dans tous les actes de la vie civile. Le bénéficiaire perd en principe tous ses droits civiques (autorité parentale, droit de vote) et est intégralement représenté par son tuteur, sauf si le juge des tutelles en décide autrement.

Le tuteur ou curateur peut être :

  • Un membre de la famille (en priorité lorsqu’il y a entente entre tous les membres de la famille);
  • Un gérant de tutelle indépendant;
  • Un membre d’une association tutélaire agréée.

La personne est totalement déchargée de la gestion de ses biens. Elle peut désormais conserver son droit de vote si le juge l’y autorise. Elle peut faire seule les actes de la vie courante, qui ne sont pas de la responsabilité du tuteur. En cas de mariage : il peut s’effectuer après consultation du Conseil de Famille et en tenant compte de l’avis du médecin traitant, qui est obligatoire. Le Pacte Civil de Solidarité n’est pas autorisé.

En cas de divorce :

Le tuteur peut engager la procédure avec autorisation du juge. Si la procédure est engagée par le conjoint de la personne protégée, l‘action est exercée contre le tuteur.

Aucune demande de divorce par consentement mutuel n’est possible.

La personne de confiance

La loi du 4 mars 2002 introduit la notion de personne de confiance. Il s’agit d’une mesure innovante qui permet à toute personne majeure de désigner une personne habilitée à être informée et consultée lorsque le patient se trouve hors d’état d’exprimer sa volonté et à l’accompagner durant son séjour hospitalier.

Il s’agit d’une personne librement choisie par le patient dans son entourage et en qui il a toute confiance (parent, proche ou médecin traitant). La désignation de la personne de confiance n’est pas une obligation mais un droit pour le patient.

L’article L. 1111-6 du Code de la Santé Publique, issu de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, institue la personne de confiance dans les cas où la personne soignée se trouverait « hors d’état d’exprimer sa volonté et de recevoir l’information nécessaire à cette fin ».

Les directives anticipées

Cela garantit au patient, dans le cas où il serait hors d’état d’exprimer sa volonté, que ses souhaits relatifs à sa fin de vie soient pris en compte par le médecin qui le suit. Il ne s’agit que des souhaits et le médecin n’est pas obligé de les suivre, mais il doit d’abord s’informer sur leur existence et en tenir compte dans sa décision finale. Ces directives anticipées n’ont qu’une validité de trois ans.

Ce décret a été rédigé après la parution de la loi du 22 avril 2005 sur les droits des malades et sur la fin de vie. Des «directives anticipées» peuvent être rédigées et consultées dans le cas où la personne ne pourrait plus s’exprimer et/ou dans l’impossibilité où elle serait de dire sa volonté relative à la fin de sa vie. Le plus souvent il s’agit d’exprimer son souhait de limiter ou d’arrêter les traitements, mais rien n’empêche une personne de stipuler, au contraire, que l’on tente tout traitement jusqu’au dernier moment. Il faut savoir que dans l’arrêt de tout traitement, on comprend aussi l’alimentation par sonde gastrique ou l’hydratation par perfusion.

Les «directives anticipées» doivent être formulées par écrit, en y ajoutant le nom, prénom, date et lieu de naissance de la personne qui les a rédigées. Il suffit ensuite de dater et de signer le document, et de le remettre à son médecin référent, ou à un proche qui en sera le dépositaire. Ces directives doivent exprimer la volonté « récente » d’une personne : en effet, elles doivent dater de moins de trois ans et donc être renouvelées tous les trois ans pour être considérées comme proches de la volonté actuelle du malade. Ces directives sont évidemment révocables à tout moment. Le médecin les consulte avec son équipe, mais il n’est pas obligé de les suivre.

Région Nord

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France Alzheimer Nord, antenne Flandre Alzheimer et dégénérescence frontotemporale

Formations spécifiques pour les proches de malades ayant une maladie d’Alzheimer jeune ou une dégénérescence  rontotemporale. Deux journées qui se déroulent au centre médical des monts de Flandres à Bailleul, formations gratuites.

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à Bailleul

4 par an, échange des familles sur les difficultés spécifiques à cette maladie rare durant un moment de convivialité.
Pour plus d’informations contactez Bertille Foulon (bertille.foulon@wanadoo.fr) ou demandez ses coordonnées téléphoniques au 06 85 50 96 78

UHR

Les UHR (unités d’hébergement renforcé) sont implantées au sein des EHPAD. Elles accueillent des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée ayant des troubles du comportement sévères. Un projet de soin est adapté à la personne ainsi qu’un projet de vie personnalisé. Les familles et les proches sont encouragés à y participer. Enfin, l’environnement architectural est adapté aux personnes accueillies et se différencie du reste de la structure.

Territoire Coordonnées E-mail
Arrageois Résidence de Dainville
Avenue de l’Hippodrome
62000 DAINVILLE
03 21 24 43 45
geriatrie@ch-arras.fr
isabelle.caron@ch-arras.fr
Centre Hospitalier – USLD
Rue d’Hesdin
62165 ST POL/TERNOISE CEDEX
03 21 03 20 00
Jeanne-Marie.MARION-DRUMEZ@ch-arras.fr
chternois@chternois.fr
Béthunois EHPAD Germon Gauthier – CH de Béthune
Rue Delbecque
62408 BETHUNE
03 21 64 41 56
sec.germon@ch-bethune.fr
ddeschildre@ch-bethune.fr
Boulonnais EHPAD du Centre Hospitalier « La Frégate »
87 rue de la Paix
62321 BOULOGNE-sur-MER
03 21 99 30 66
sec-duflos@ch-boulogne.fr
Calaisis EHPAD « La Roselière » du C.H de Calais – USLD
1601 bd des Justes
62107 CALAIS CEDEX
03 62 61 51 00
f.dupont@ch-calais.fr
direction@ch-calais.fr
Cambrésis Centre Hospitalier de Le Cateau EHPAD « Résidence d’Automne »
28 bd Paturle
59360 LE CATEAU-CAMBRESIS
03 27 84 66 66
automne@ch-lecateau.fr
direction@ch-lecateau.fr
Douaisis Centre Hospitalier de Douai
Route de Cambrai
59507 DOUAI CEDEX
03 27 94 70 10
alexandre.berteloot@ch-douai.fr
andre.domdeyne@ch-douai.fr
dg@ch-douai.fr
Dunkerquois Polyclinique de Grande Synthe USLD
Avenue de la Polyclinique
59760 GRAND SYNTHE
03 28 28 55 71
cecile.goze@pg-s.com
Kodjo.Onipoh@pg-s.com
Lens – Hénin EHPAD « Montgré » du C.H. de LENS
41 rue Henri Mailly
62300 LENS
03 21 69 19 47
emacowiak@ch-lens.fr
asdelhaye@ch-lens.fr
EHPAD « L’Aquarelle »
Boulevard Lamendin
62160 BULLY LES MINES
03 21 45 87 20
afievet@ahnac.com
Lille EHPAD « Jehanne de Luxembourg »
29 rue Henri Barbusse
59481 HAUBOURDIN CEDEX
03 20 10 15 15
direction@ghlh.fr
Centre Hospitalier Régional Universitaire – USLD – Hôpital des Bâteliers
23 rue des Bâteliers –
59037 LILLE CEDEX
03 20 44 45 83
anne-sophie.neirinck@chru-lille.fr
francois.puisieux@chru-lille.fr
Virginie.SION@CHRU-LILLE.FR
Laurent.PROVIN@CHRU-LILLE.FR
Annie.Selosse@chru-lille.fr
EHPAD « les Augustines » du CH
Rue d’Apolda
59113 SECLIN
03 20 62 75 82
directiongenerale@ghsc.fr
virginie.delattre@ghsc.fr
Roubaix – Tourcoing EHPAD « Les Maisonnées » du Centre Hospitalier
155 rue du Président Coty
59113 SECLIN
03 20 69 47 50
gerontologie@ch-tourcoing.fr
rmbonfante@ch-tourcoing.fr
Valenciennois Centre Hospitalier de Valenciennes – Résidence du Val d’Escaut – USLD
Avenue Désandrouin
59322 VALENCIENNES
03 27 23 30 63
soyez-s@ch-valenciennes.fr
golebski-m@ch-valenciennes.fr
dambre-d@ch-valenciennes.fr
UCC

L’unité cognitivo-comportementales (UCC) peut être un recours à l’hospitalisation nécessaire, seule solution pour gérer une crise ou des troubles importants du comportement, d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée, vivant à domicile ou dans un établissement de type Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD).

Lieu de santé Adresse Ville Téléphone
CHRU de Lille Hôpital Fontan II
Rue André Verhaeghe
59037
LILLE cedex
03 20 44 58 51
Centre hospitalier de Seclin Rue d’Apolda 59113
SECLIN cedex
03 20 62 70 98
Centre médical du mont des Flandres (CMMF -EPSM) 49bis, rue Neuve Eglise 59270
BAILLEUL
03 28 43 47 35
Groupe hospitalier Loos Haubourdin 29, rue Henri Barbusse 59481
HAUBOURDIN
03 62 21 04 00
Polyclinique de Grande Synthe Avenue de la Polyclinique 59760
GRANDE SYNTHE
03 28 58 60 30
poste 0148
Clinique du Château Lamotte 48, chemin de La Motte 59870
MARCHIENNES
03 27 99 57 91
Centre hospitalier de Le Quesnoy Gériatrie
90, rue du 8 mai 1945
59530
LE QUESNOY
03 27 14 89 30
03 27 14 89 91
03 27 14 92 55
Centre hospitalier de Hautmont 136, rue Gambetta 59330
HAUTMONT
03 27 63 60 32
Centre hospitalier de l’arrondissement de Montreuil Route départementale 140 BP 8 62180
RANG DU FLIERS
03 21 89 48 41
03 21 89 35 43
Centre hospitalier de Boulogne sur mer Allée Jacques Monod 62200
BOULOGNE SUR MER
03 21 99 30 55
Centre hospitalier d’Arras Boulevard Besnier 62022
ARRAS
03 21 21 10 10
poste 43491
Polyclinique de Riaumont-Liévin Avenue de l’Entre 2 Monts 62800
LIEVIN
03 21 44 84 99
PASA

Créés dans le cadre du plan Alzheimer 2008 – 2012, les PASA (Pôles activités et soins adaptés), accueillent chaque jour un groupe de résidents d’EHPAD atteints de la maladie d’Alzheimer ou de maladies apparentées et présentant des troubles modérés du comportement, afin de leurs proposer des activités sociales et thérapeutiques adaptées.

Territoire Coordonnées E-mail
Arrageois EHPAD « La Quiétude »
29/3 rue de Gouy –
62112 CORBEHEM
03 27 88 88 62
direction.residence-laquietude@fces.fr
EHPAD « Résidence Dainville »
Avenue de l’hypodrome
62000 DAINVILLE
03 21 24 43 50
geriatrie@ch-arras.fr
Audomarois EHPAD « les Fontinettes »
15 rue Vaillant Couturier
62510 ARQUES
03 21 12 27 61
ehpad@fontinettes.eu
EHPAD Maison Bernard DEVULDER
25, rue Bernard Chochoy
62380 ESQUERDES
03 21 95 26 98
secretariat@ehpad-b-devulder.fr
EHPAD « Raymond Dufay »
place de l’Hôtel de ville
62967 LONGUENESSE
03 21 38 90 80
ehpadlonguenesse@vieactive.asso.fr
Béthunois EHPAD « Résidence de France »
673 rue du Gal Leclercq
62660 BEUVRY
03 21 61 87 87
EHPAD « Résidence les près de Lys »
22 rue Jean Monnet
62840 SAILLY-sur-LA LYS
03 21 63 16 90
ehpadsailly@vieactive.asso.fr
EHPAD « Saint Camille »
1 rue Desmazières
62131 VERQUIN
03 21 68 75 42
residencesaintcamille@wanadoo.fr
Boulonnais EHPAD « Notre Dame des Campagnes »
172 rue du Père Duchesnes
62132 CAFFIERS
03 21 46 51 51
ndc.caffiers@yahoo.com
Cambrésis EHPAD « Léonce Bajart » du C.H. du QUESNOY
1 bd du 8 mai 1945 – BP 194 –
59544 CAUDRY
03 27 75 57 57
residence-bajart@ch-lequesnoy.fr
EHPAD « la Joncquière »
1 rue Gouzeaucourt
59266 HONNECOURT
03 27 78 55 06
EHPAD « Les Edelweiss « – Floralys
185 rue de Lille
59554 NEUVILLE-ST-REMY
03 27 37 67 15
ehpad.neuville@floralys.fr
Douaisis EHPAD « Les logis Douaisiens »
57 avenue Gounod
59500 DOUAI
03 27 08 09 00
accueillogis@mav.asso.fr
EHPAD « Les Jardins de Théodore »
243 rue Hubert Reeves-
59552 LAMBRES-lez-DOUAI
03 27 88 79 05
direction.residence-lesjardinsdetheodore@fces.fr
EHPAD « Le Pévèle »
184 rue de l’Eglise
59310 SAMEON
03 20 61 52 55
direction.residence-lepevele@fces.fr
EHPAD « Pierre Wautriche »
248 avenue Roger Salengro
59450 SIN-le-NOBLE
03 27 71 32 71
direction.residence-pierrewautriche@fces.fr
Dunkerquois EHPAD « Résidence Saint Jean  »
41 avenue Félix Baert
59380 BERGUES
03 28 68 62 99
stjean.residence@wanadoo.fr
EHPAD « Oliver Varlet »
17 rue verte
59630 BOURBOURG
03 28 22 29 41
ehpad.o.varlet@nordnet.fr
Flandre intérieure EHPAD « Françoise de Luxembourg » du C.H.
23 rue Delattre de Tassigny
59280 ARMENTIERES
03 20 48 10 30
direction@ch-armentières.fr
EHPAD « les dentellières » du CH
40 rue de Lille
59270 BAILLEUL
03 28 43 70 00
direction@ch-bailleul.fr
EHPAD « Résidence Les Hauts de Flandre »
633 avenue Albert Mahieu
59670 CASSEL
03 28 42 44 30
EHPAD « Résidence les Charmilles »
10 rue Saint Vincent de Paul
59940 ESTAIRES
03 28 48 85 22
EHPAD « Le clos des tilleuls » du C.H.
1 rue de l’Hôpital
59190 HAZEBROUCK
03 28 42 67 00
CLOS_DES_TILLEULS@ch-hazebrouck.fr
EHPAD « Domaine des Tuileries »
Parc de la Tuilerie 7 place des Anciens Combattants
59840 PERENCHIES
03 20 22 44 38
domainedestuileries@wanadoo.fr
EHPAD « Résidence Abbé Lefrançois »
24 rue du Stade
59181 STEENWERCK
03 28 49 96 59
maison-retraite-steenwerck@wanadoo.fr
Lens – Hénin Maison de Retraite « les Orchidées »
Rue Baggio
62220 CARVIN
03 21 77 47 45
accueil-ehpad@ch-carvin.fr
Lille EHPAD « Les Jardins Argentés »
Chemin Desnoullet
59112 ANNOEULLIN
03 20 60 60 60
EHPAD Saint François de Sales
115 rue du Grand But
59160 CAPINGHEM
03 20 22 57 80
ehpadsaintfrancoisdesales@ghicl.net
EHPAD »TiersTempsSaintMaur »
15 avenue Saint Maur
59110 LA MADELEINE
03 20 15 68 68
saint-maur-madeleine@domusvi.com
EHPAD « Soleil d’Automne » – Quartier Canteleu
3 place Nouveau Canteleu
59130 LAMBERSART
03 20 00 88 79
EHPAD « Résidence Edilys »
37 rue Meurein
59000 LILLE
03 20 14 31 31
edilysaccueil@afeji.org
EHPAD « Marguerite Yourcenar »
117 rue de Condé
59019 LILLE
03 20 78 59 62
contact@feron-vrau.com
EHPAD « Notre Dame d’Espérance »
291 bd Victor Hugo
59019 LILLE
03 20 78 59 59
contact@feron-vrau.com
EHPAD « Saint Jean »
73 rue des Stations
59800 LILLE
03 20 13 26 00
accueil-saintjean@orange.fr
EHPAD « Les Marronniers »
45 avenue de la Marne
59700 MARCQ EN BAROEUL
03 20 72 65 75
residencelesmarronniers@ager-asso.fr
EHPAD « la fleur de l’âge »
20 bis allée des sports
59960 NEUVILLE-en-FERRAIN
03 20 94 09 28
EHPAD du C.H.
Avenue des marronniers
59471 SECLIN
03 20 62 70 02
directiongenerale@ghsc.fr
EHPAD « Les Orchidées »
145 rue de Lille
59650 VILLENEUVE D’ASCQ
03 20 19 62 62
contact.villeneuve@lesorchidees.fr
EHPAD « Résidence Obert »
2 bis rue Obert –
59118 WAMBRECHIES
03 20 63 60 60
residence.obert.wambrechies@wanadoo.fr
EHPAD « les lys blancs »
55 rue Saint Vincent
59890 QUESNOY-sur-DEULE
03 20 78 92 47
lysblancs.residence@wanadoo.fr
Montreuillois EHPAS « La fontaine médicis »
360 avenue de l’Europe
62780 CUCQ
03 21 84 19 83
medicis-cucq@domusvi.com
EHPAD « Les Epriaux »
49 rue du Saint Esprit
62310 FRUGES
03 21 47 17 77
maisonderetraitefruges@wanadoo.fr
EHPAD « Gabrielle Hielle »
Avenue du Général Leclerc
62140 HUBY SAINT LEU
03 21 90 13 00
ehpadhubysaintleu@mgen.fr
EHPAD « Saint Walloy »
CHAM 16 place Saint Walloy
62170 MONTREUIL-sur-MER
03 21 90 15 80
psarris@ch-montreuil.fr
Roubaix – Tourcoing EHPAD « La Fraternité » du CH
20 avenue Julien Lagache
59056 ROUBAIX
03 20 99 31 31
secretariat.direction@ch-roubaix.fr
EHPAD « les verts prés » du CH
Rue Pierre de Coubertin
59100 ROUBAIX
03 20 99 32 56
secretariat.direction@ch-roubaix.fr
EHPAD « les Orchidées »
5 rue Henri Bossut
59100 ROUBAIX
03 20 66 79 79
contact.roubaix@lesorchidees.fr
EHPAD « Résidence Mahaut de Guisnes » du C.H.
155 rue du Président Coty
59200 TOURCOING
03 20 69 47 00
gerontologie@ch-tourcoing.fr
Sambre – Avesnois EHPAD du C.H.
136 rue Gambetta
59330 HAUTMONT
03 27 63 60 20
direction@ch-hautmont.fr
EHPAD « Résidence Harmonie »
rue du Faubourg Fauroeulx
59530 LE QUESNOY
03 27 49 10 33
jp.brygo@sinoplies.fr
EHPAD « les Chênes » du C.H.
90 rue du 8 mai
59530 LE QUESNOY
03 27 14 86 52
direction@ch-lequesnoy.fr
Valenciennois EHPAD « Harmonie »
Rue Pierre Brossolette
59300 AULNOY-lez-VALENCIENNES
03 27 23 78 00
EHPAD « Dronsart »
60 rue Anthénor Cauchy
59111 BOUCHAIN
03 27 35 70 21
directeur@ehpad-dronsart.fr
EHPAD « Emile Dubois »
2 route d’Orchies
59870 MARCHIENNES
03 27 99 26 00
EHPAD « le champ d’or »
Rue Nicolas Galliez
59252 MARQUETTE-en-OSTREVANT
03 27 35 55 55
EHPAD « les Feuillantines »
Rue du Long
59920 QUIEVRECHAIN
03 20 19 06 00
contact@les-feuillantines.com
EHPAD « Résidence Estreelle »
43 place du 11 novembre
59230 SAINT AMAND-les-Eaux
03 27 22 96 49
bchiarello@ch-saint-amand-les-eaux.fr